assurance qualité

Les produits ayurvédiques et autres produits naturels portant le certificat BDIH sont soumis à un contrôle indépendant et permanent basé sur des critères de base. Le BDIH (Association fédérale des entreprises industrielles et commerciales de médicaments, d'aliments naturels, de compléments alimentaires et de produits cosmétiques e.v) est une association sociale et donc à but non lucratif de fabricants et de sociétés commerciales. L'accent est mis sur la transparence pour les consommateurs et sur la création de conditions de concurrence équitables pour toutes les entreprises participantes.

• Matières premières végétales : Les matières premières végétales utilisées doivent provenir d'une source écologiquematière source
certifiée.
• Matières premières animales : Toutes les matières premières animales produites par des animaux, telles que le lait ou le miel, sont autorisées. Toutefois, les matières premières animales provenant de vertébrés morts, telles que l'huile de vison, l'huile d'émeu et les graisses animales, ne sont pas autorisées.
• Sans tests cruels sur les animaux : Les tests sur les animaux ne peuvent pas être effectués ou commandés pendant la production, le développement ou les tests des produits finis.
• Cosmétiques naturels : Outre les processus physiques, notamment l'extraction avec de l'eau, de l'alcool végétal, du dioxyde de carbone, des graisses ou huiles végétales et la glycérine obtenue à partir de celles-ci, les processus enzymatiques et microbiologiques sont également autorisés dans la production de cosmétiques naturels, comme ils se produisent également dans la nature.
• Substances naturelles : En outre, des substances provenant de substances naturelles telles que des graisses, des huiles et des cires, du sucre, de l'amidon, de la cellulose, des protéines, des polysaccharides, des vitamines peuvent être obtenues par hydrolyse, hydrogénation, estérification ou autre fractionnement et condensation.
• Conservateurs : Seuls des conservateurs sélectionnés et identiques à la nature peuvent être utilisés. Un étiquetage approprié est requis.
• Parfums naturels : Seuls les parfums naturels conformes à la norme ISO 9235 ainsi que les parfums obtenus par biotechnologie sont autorisés dans les produits.

Substances interdites qui ne doivent en aucun cas être utilisées :

• Colorants organiques-synthétiques
• Parfums synthétiques
• Matières premières éthoxylées
• Silicone
• Paraffines et autres produits pétroliers
• Matières premières végétales et animales ainsi que produits finis traités aux rayonnements ionisants

Si vous avez d'autres questions sur les produits ayurvédiques de l'Ayurveda Paradise et sur les directives de qualité, nous serons heureux de vous aider.
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Quand l'Ayurveda m'a trouvé dans la vie et que j'en suis rapidement devenu accro, j'ai senti que j'avais trouvé mon projet de vie/plan d'âme et que je voulais travailler avec l'Ayurveda et pour les gens au quotidien.

J'ai donc commencé très jeune et aujourd'hui les marques propres d'Ayurveda Paradies sont fabriquées en Inde. Je voyage en Inde 1 à 2 fois par an pour visiter et en savoir plus sur les fabricants et leurs installations de production. Il est important pour moi que les produits ayurvédiques soient fabriqués avec la meilleure qualité, qu'ils soient certifiés à plusieurs reprises et que les employés aiment travailler dans cette entreprise. Dans ma vie, j'ai appris à ressentir les gens.

Processus de production d'huiles de massage produites de manière traditionnelle
Certification Bio, Cruelty-Free, Made-Safe, Eurofins, GMP, Toxic-Free
La certification Bio me semble désormais en vigueur La Suisse n'est plus aussi importante car, premièrement, tous les produits que nous importons proviennent de cultures naturelles et sont certifiés à plusieurs reprises, comme mentionné au début. Deuxièmement, nous prenons en charge les frais de laboratoire pour les produits ayurvédiques spécialement importés et testons la présence de métaux lourds et de plus de 300 pesticides différents par l'intermédiaire de laboratoires indépendants. Les autres fabricants de marques ont leurs propres directives de qualité que nous vérifions de manière aléatoire.

L'import

Nous importons les produits d'Inde en collaboration avec une entreprise de transport suisse spécialisée, qui veille également au meilleur bilan CO2 possible.

Mieux vaut produire biologiquement que produire localement
Le transport international ne joue qu'un rôle mineur dans l'empreinte écologique de notre panier. Il vaut donc mieux acheter du « made in green » plutôt que du « made in Switzerland ».
Il est possible de créer une empreinte carbone pour chaque produit commercialisé au niveau international : de la production au consommateur final. D’une part, on peut mesurer la consommation énergétique de la production dans le pays d’origine – ici l’Inde – et les émissions de CO2 associées. D'autre part, les émissions provoquées par la combustion de carburant lors du transport des marchandises vers le pays importateur et du transport depuis l'installation de production jusqu'au port maritime peuvent également être déterminées. Cette dernière dépend de la densité matière du produit, de la distance parcourue et du moyen de transport choisi.

En 2018, les échanges commerciaux vers et depuis l’UE et les États-Unis ont généré en moyenne entre 450 et 540 g d’équivalents CO2 (CO2e) par dollar échangé. Sur ce total, 300 g de CO2e en moyenne proviennent de la production et entre 150 g et 240 g de CO2e proviennent du transport. On estime que le commerce international est responsable d’un tiers (31,6 %) des émissions mondiales de gaz à effet de serre[1] en 2018. Cependant, seuls 10,4 points de pourcentage de ce montant peuvent être attribués au transport de biens et de services.

Influence décroissante du transport maritime
Cependant, ce n'est pas la distance parcourue qui a la plus grande influence sur les émissions liées au transport, mais plutôt le moyen de transport. Selon les calculs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), la route maritime est celle qui émet le moins de CO2. Par exemple, un vraquier – c’est-à-dire un navire utilisé pour transporter des marchandises en vrac telles que du sable ou des céréales – émet environ 6 g d’équivalent CO2 par tonne kilomètre (tkm), tandis que les porte-conteneurs en émettent 10 g. En comparaison, le fret aérien pollue l’environnement 74 fois plus (740 g CO2e par tkm). Lors d'un transport routier, il est de 180 g (voir tableau).

Local ne signifie pas respectueux de l'environnement
En réalité, comme l'a déclaré Mathilde Le Moigne, chercheuse postdoctorale au Centre Kühne pour une mondialisation durable de l'Université de Zurich, 22 % des produits importés dans le L’UE est déjà « made in Green ». Pour ces biens, il est plus respectueux de l’environnement de les produire à l’étranger et de les transporter en Europe que de les produire sur le continent européen.